Unterseeboot UB-50

Cet article est une ébauche concernant les sous-marins, l’Empire allemand et la Première Guerre mondiale.

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Pour les autres navires du même nom, voir Unterseeboot 50.

Unterseeboot UB-50
illustration de Unterseeboot UB-50
L'UB-148 en mer, un U-boot similaire à l'UB-50

Type Sous-marin côtier
Classe UB III
Histoire
A servi dans  Kaiserliche Marine
Constructeur Blohm & Voss, Hambourg
Commandé 20 mai 1916[1]
Lancement 6 janvier 1917
Commission 12 juillet 1917
Statut Fait sa reddition le 16 janvier 1919, démantelé à Swansea[2]
Équipage
Équipage 3 officiers, 31 hommes
Caractéristiques techniques
Longueur 55,30 m
Maître-bau 5,80 m
Tirant d'eau 3,68 m
Déplacement
  • 516 tonnes en surface
  • 651 tonnes en plongée
Propulsion
Vitesse
  • 13,6 nœuds (25,2 km/h) en surface
  • 8 nœuds (15 km/h) en immersion
Profondeur 50 m aux essais
Caractéristiques militaires
Armement
Rayon d'action
  • 9040 milles marins (16740 km) à 6 nœuds (11 km/h) en surface
  • 55 milles marins (102 km) à 4 nœuds (7,4 km/h) en immersion
Pavillon Empire allemand
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L'Unterseeboot UB-50 est un sous-marin (U-Boot) allemand de type UB III utilisé par la Kaiserliche Marine pendant la Première Guerre mondiale. Le sous-marin a été commandé le 20 mai 1916. Il est lancé le 6 janvier 1917 et mis en service le 12 juillet 1917 dans la marine impériale allemande.

Pendant la guerre, le sous-marin a effectué sept patrouilles et coulé 40 navires, pour une perte totale de 97922 tonneaux de jauge brute (TJB) et 16499 tonnes. Il opéra dans le cadre de la flottille de Pola basée à Cattaro. L'UB-50 se rendit le 16 janvier 1919 avec le reste de la flottille de Pola à la suite d’un ordre de l’amiral Reinhard Scheer de rentrer au port. Au cours de sa traversée du détroit de Gibraltar, il réussit à couler le cuirassé HMS Britannia, deux jours avant la fin de la guerre. L'UB-50 a ensuite été démantelé à Swansea[2].

Conception

Article détaillé : Unterseeboot type UB III.

Comme tous les sous-marins de type UB III, l'UB-50 avait un déplacement de 516 tonnes en surface et de 651 tonnes en immersion. Ses moteurs lui permettaient de naviguer à 13,6 nœuds (25,2 km/h) en surface et à 8 nœuds (15 km/h) en immersion. Il avait une autonomie de 9040 milles marins (16740 km) à vitesse de croisière. L'UB-50 transportait 10 torpilles et était armé d’un canon de pont de 8,8 cm. L'UB-50 avait un équipage pouvant compter jusqu’à 34 hommes[3].

Carrière

L'UB-50 a été commandé par la marine impériale allemande le 20 mai 1916. Il a été construit par Blohm & Voss à Hambourg. Après un peu moins d’un an de construction, il a été lancé à Hambourg le 6 janvier 1917. L'UB-50 a été mis en service plus tard la même année, sous le commandement du Kapitänleutnant Franz Becker.

Première patrouille

Peu après son départ de Pola, l'UB-50 rencontra le William H. Crawford, un voilier américain de 1593 TJB. Il a coulé après qu’une attaque du sous-marin l’ait arrêté[4]. Quatre jours plus tard, l'UB-50 aperçut la barge britannique R.B.40 de 800 TJB. L'UB 50 lança une torpille qui toucha le remorqueur britannique remorquant la barge, le H.s.3 de 121 TJB. Le remorqueur a coulé, mais le chaland n’a pas été coulé[5]. Le lendemain, l'UB-50 a trouvé deux voiliers portugais, les Correiro De Sines et Comizianes Da Graça, tous deux de 32 TJB[6]. Ils ont été coulés à 6 milles marins (11 km) au nord du cap Sines[7]. Un jour plus tard, l'UB-50 trouve le navire portugais Sado, qu’il a coulé à environ 16 milles marins (30 km) au sud de sa proie de la veille[8]. Quatre jours plus tard, l'UB-50 rencontra et coula un navire marchand, le British Polar Prince de 3611 TJB, transportant du charbon pour Malte[9]. Deux jours plus tard, il coule le Fabian, un vapeur britannique de 2246 TJB qui se rendait à Liverpool, tuant trois personnes[10]. Plus tard dans la journée, il coule le Gioffredo Mameli, un vapeur italien de 4124 TJB transportant du minerai[11]. Le vapeur grec Alkyon de 2464 TJB, transportant du charbon, est attaqué deux jours plus tard par l'UB-50, coulant près d’Oran[12]. L'UB 50 a enchaîné avec le naufrage du vapeur norvégien John Knudsen de 1670 TJB, tuant une personne[13]. Quatre jours plus tard, le voilier italien Ciro de 296 TJB est sabordé après avoir été touché par l'UB-50[14]. C’est le dernier navire qu’il coulera avant de retourner à sa base.

Deuxième patrouille

L'UB-50 entame sa deuxième patrouille avec le naufrage du Marc Fraissinet, un vapeur français de 3060 TJB transportant du bois, des munitions et du foin à destination de Bizerte. Il a coulé à 15 milles marins (28 km) au nord de Tabarca après avoir été torpillé par l'UB-50[15]. Plus tard dans la journée, l'UB 50 rencontra le Senegal, un vapeur italien de 845 TJB, le coulant au large des côtes de l’Algérie sans faire de victimes[16]. Trois jours plus tard, le Margram Abbey, un vapeur britannique de 4367 TJB transportant du charbon, est trouvé et torpillé par l'UB-50. Il s’est échoué au large des côtes algériennes, mais les dommages causés par la torpille, qui ont tué deux personnes, ont causé la perte du navire[17]. Trois jours plus tard, l'UB 50 attaqua l'Antaeus, un vapeur britannique de 3061 TJB, au large du cap Bon. Il n’y a pas eu de victimes, mais le capitaine a été fait prisonnier. Le lendemain, l'UB 50 torpilla l'Amberton, un vapeur britannique de 4556 TJB, mais il fut seulement endommagé[18]. Quatre jours plus tard, le sous-marin trouve sa dernière cible de sa deuxième patrouille, le vapeur américain Rizal, de 2774 tonneaux, qui coule à 9 milles marins (17 km) du cap Coda Cavallo[19].

Troisième patrouille

L'UB-50 entame sa troisième patrouille en trouvant et en coulant le voilier italien S. Giuseppe B. de 96 TJB au large des côtes africaines[20]. Il coule deux jours plus tard à 50 milles marins (93 km) au nord-est des rochers de Cani[21]. Le jour de Noël 1917, près de Bizerte, l'UB-50 coule le Sant' Antonio, un voilier italien de 843 TJB, par ses tirs[22]. Le jour de l'an 1918, l'Egyptian Transport, un vapeur britannique de 4648 TJB, a été endommagé lors d’une attaque de l'UB-50 qui a tué cinq hommes. Il s’est échoué mais a été renfloué ensuite[23]. Deux jours plus tard, l'Allanton, un vapeur britannique de 4253 TJB transportant du charbon, est coulé par l'UB-50[24]. Celui-ci coule également plus tard dans la journée le Steelville, un vapeur britannique de 3649 TJB transportant également du charbon[25]. Quatre jours plus tard, l'UB-50 torpille l'Arab, un vapeur britannique de 4191 TJB au large des côtes du cap Serrat, tuant 21 personnes[26].

Quatrième patrouille

La quatrième patrouille de l'UB-50 a été très réussie. En moins d’un mois, il a coulé six navires. La première victime est le vapeur français Saint Jean II de 2457 TJB, qui coule le 22 mars 1918 au large du Cap Bon[27]. Le même jour, l'UB-50 réussit à endommager le vapeur britannique Shadwell au large de Bizerte[28]. Quatre jours plus tard, l'UB-50 coule le vapeur italien Volturno de 11495 TJB au large de Bône (de nos jours, Annaba) en Algérie[29]. Le 6 avril, l'UB-50 coule le navire français Madeleine III. Le 11 avril, il coule le voilier italien Carmela G et le navire britannique Highland Prince[30],[31].

Cinquième patrouille

L'UB-50 entame sa cinquième patrouille de guerre en endommageant au large des côtes d’Oran le vapeur britannique Elswick Grange, de 3926 TJB, qui transporte du charbon, tuant une personne[32]. Deux jours plus tard, il rencontra le vapeur britannique Mavisbrook de 3152 TJB transportant aussi du charbon. Il le torpille au sud-est de Cabo de Gata, tuant 18 personnes[33]. Le même jour, il tombe sur le trois-mâts à coque de fer danois Kirstine Jesen, qui coule après avoir essuyé des tirs du canon de pont de l'UB-50 sans faire de morts[34]. Deux jours plus tard, le New Sweden, un vapeur suédois de 5319 TJB, est touché par l'UB-50 et coule[35]. Deux jours plus tard, l'UB-50 trouva le vapeur espagnol Maria Pia de 180 TJB, qui coula sans faire de victimes[36]. Trois jours plus tard, le voilier français Animal Lafont de 117 TJB et le voilier italien Santa Teresa de 257 TJB ont été torpillés par le sous-marin, sans faire de victimes[37],[38].

Sixième patrouille

Peu de temps avant sa sixième patrouille, l'Oberleutnant zur See Heinrich Kukat prit le commandement du sous-marin, succédant au Kptlt. Becker. Lors de sa sixième patrouille, l'UB-50 rencontra l'Imber, un vapeur britannique de 2514 TJB, et le torpilla au sud du cap Santa Maria di Leuca. Le vapeur survécut à l’attaque[39]. Trois jours plus tard, l'UB-50 coule le War Swallow, un navire marchand britannique de 5216 TJB transportant du charbon de la rivière Tyne à Port-Saïd[40]. Trois autres jours s’écoulèrent avant que l'UB-50 ne trouve sa prochaine cible, le vapeur italien Adria 1, un navire transportant du coton de Palerme à Tunis. Il a coulé, mais il n’y a pas eu de morts[41]. Deux jours plus tard, le vapeur britannique Upada de 5257 TJB est torpillé par l'UB-50, tuant trois personnes, mais n’est qu’endommagé[42]. L'UB-50 coule deux jours plus tard le Messidor, un vapeur britannique de 3883 TJB, tuant un membre d’équipage[43]. Le lendemain, il torpille le Rutherglen, un navire marchand à vapeur britannique de 4214 TJB transportant du charbon[44]. Cette action a été suivie le lendemain par une attaque sur le Magellan, un vapeur britannique de 3642 TJB, qui a coulé avec la perte d’un homme[45]. Le dernier navire coulé lors de la patrouille était l'Antonio S., un voilier italien de 175 TJB coulé au large des côtes tunisiennes[46].

Septième patrouille

Le 9 novembre 1918, deux jours avant l'armistice avec l’Allemagne, l'UB-50 coule le cuirassé britannique HMS Britannia. Le Britannia allait à Gibraltar lorsqu’il a été torpillé au large du cap Trafalgar[47]. Après l’explosion initiale, le navire a commencé à prendre dix degrés de gîte à bâbord. Quelques minutes plus tard, une autre explosion a déclenché un incendie dans un magasin d’obus de 9,2 pouces (230 mm), ce qui a entraîné une explosion de cordite dans le magasin. Le Britannia est resté incliné à 10 degrés pendant deux heures et demie avant de couler[1]. Ses 16350 tonnes en font le plus grand navire que le sous-marin ait jamais coulé, et le seul que l'UB-50 coulera lors de sa dernière patrouille[48].

Affectations

  • Flottille Mittelmeer / Mittelmeer II : du 30 septembre 1917 au 11 novembre 1918

Commandants

  • Kptlt. Franz Becker[1] : du 12 juillet 1917 au 30 juin 1918
  • Oblt.z.S. Heinrich Kukat[1] : du 1er juillet au 29 novembre 1918
Date Nom Nationalité Tonnage Destin[48]
8 septembre 1917 William H. Clifford Drapeau des États-Unis United States 1593 Coulé
12 septembre 1917 HS 3 Drapeau du Royaume-Uni United Kingdom 121 Coulé
12 septembre 1917 RB 10 Drapeau du Royaume-Uni United Kingdom 800 Coulé
13 septembre 1917 Gomizianes Da Graça Odemira Drapeau du Portugal Portugal 32 Coulé
13 septembre 1917 Correiro De Sines Drapeau du Portugal Portugal 32 Coulé
14 septembre 1917 Sado Drapeau du Portugal Portugal 196 Coulé
18 septembre 1917 Polar Prince Drapeau du Royaume-Uni United Kingdom 3611 Coulé
20 septembre 1917 Fabian Drapeau du Royaume-Uni United Kingdom 2246 Coulé
20 septembre 1917 Gioffredo Mameli Drapeau de l'Italie Italie 4124 Coulé
22 septembre 1917 Alkyon Drapeau de la Grèce Grèce 2464 Coulé
22 septembre 1917 John Knudsen Drapeau de la Norvège Norvège 1670 Coulé
26 septembre 1917 Ciro Drapeau de l'Italie Italie 296 Coulé
28 octobre 1917 Marc Fraissinet Drapeau de la France France 3060 Coulé
28 octobre 1917 Senegal Drapeau de l'Italie Italie 845 Coulé
1 novembre 1917 Margam Abbey Drapeau du Royaume-Uni United Kingdom 4367 Coulé
4 novembre 1917 Antaeus Drapeau du Royaume-Uni United Kingdom 3061 Coulé
5 novembre 1917 Amberton Drapeau du Royaume-Uni United Kingdom 4556 Endommagé
9 novembre 1917 Rizal Drapeau des États-Unis United States 2744 Coulé
19 décembre 1917 S. Giuseppe B. Drapeau de l'Italie Italie 96 Coulé
21 décembre 1917 City Of Lucknow Drapeau du Royaume-Uni United Kingdom 8293 Coulé
25 décembre 1917 Sant’ Antonio Drapeau de l'Italie Italie 843 Coulé
1 janvier 1918 Egyptian Transport Drapeau du Royaume-Uni United Kingdom 4648 Endommagé
3 janvier 1918 Allanton Drapeau du Royaume-Uni United Kingdom 4253 Coulé
3 janvier 1918 Steelville Drapeau du Royaume-Uni United Kingdom 3649 Coulé
7 janvier 1918 Arab Drapeau du Royaume-Uni United Kingdom 4191 Coulé
22 mars 1918 Saint Jean II Drapeau de la France France 2457 Coulé
22 mars 1918 Shadwell Drapeau du Royaume-Uni United Kingdom 4091 Endommagé
26 mars 1918 Volturno Drapeau de l'Italie Italie 11495 Coulé
6 avril 1918 Madeleine III  Marine nationale 149 Coulé
11 avril 1918 Carmela G Drapeau de l'Italie Italie 41 Coulé
11 avril 1918 Highland Prince Drapeau du Royaume-Uni United Kingdom 3390 Coulé
17 mai 1918 Elswick Grange Drapeau du Royaume-Uni United Kingdom 3926 Endommagé
17 mai 1918 Mavisbrook Drapeau du Royaume-Uni United Kingdom 3152 Coulé
19 mai 1918 Kirstine Jensen Drapeau du Danemark Danemark 168 Coulé
20 mai 1918 New Sweden Drapeau de la Suède Suède 5319 Coulé
22 mai 1918 Maria Pia Drapeau de l'Italie Italie 180 Endommagé
25 mai 1918 Amiral Lafont Drapeau de la France France 117 Coulé
25 mai 1918 Santa Teresa Drapeau de l'Italie Italie 257 Coulé
13 juillet 1918 Imber Drapeau du Royaume-Uni United Kingdom 2514 Endommagé
16 juillet 1918 War Swallow Drapeau du Royaume-Uni United Kingdom 5216 Coulé
19 juillet 1918 Adria 1 Drapeau de l'Italie Italie 1809 Coulé
21 juillet 1918 Upada Drapeau du Royaume-Uni United Kingdom 5257 Endommagé
23 juillet 1918 Messidor Drapeau du Royaume-Uni United Kingdom 3883 Coulé
24 juillet 1918 Rutherglen Drapeau du Royaume-Uni United Kingdom 4214 Coulé
25 juillet 1918 Magellan Drapeau du Royaume-Uni United Kingdom 3642 Coulé
27 juillet 1918 Antonio S. Drapeau de l'Italie Italie 175 Coulé
9 novembre 1918 HMS Britannia  Royal Navy 16350 Coulé

Notes et références

  • (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « SM UB-50 » (voir la liste des auteurs).
  1. a b c et d (en) Guðmundur Helgason, « UB 50 - German and Austrian U-boats of World War One - Kaiserliche Marine », sur Uboat.net (consulté le ).
  2. a et b Gröner 1991, p. 25-30.
  3. Gröner 1991, p. 52.
  4. (en) Guðmundur Helgason, « William H. Clifford », sur Uboat.net (consulté le ).
  5. (en) Guðmundur Helgason, « Tug H.s.3 », sur Uboat.net (consulté le ).
  6. (en) Guðmundur Helgason, « Correiro De Sines », sur Uboat.net (consulté le ).
  7. (en) Guðmundur Helgason, « Comizianes Da Graca », sur Uboat.net (consulté le ).
  8. (en) Guðmundur Helgason, « Sado », sur Uboat.net (consulté le ).
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  47. Burt, p. 253,
  48. a et b (en) Guðmundur Helgason, « Ships hit by UB 50 », sur Uboat.net (consulté le ).

Bibliographie

  • (en) R. A. Burt, British Battleships 1889-1904, Annapolis, Maryland, Naval Institute Press, (ISBN 0-87021-061-0).
  • Robert Gardiner et Randal Gray, Conway's All the World's Fighting Ships 1906-1921, Annapolis, Maryland, Naval Institute Press, (ISBN 978-0-87021-907-8, OCLC 12119866).
  • (de) Harald Bendert, Die UB-Boote der Kaiserlichen Marine 1914-1918. Einsätze, Erfolge, Schicksal, Hambourg, Verlag E.S. Mittler & Sohn GmbH, (ISBN 978-3-8132-0713-2).
  • (en) Erich Gröner, Dieter Jung et Martin Maass, German Warships 1815-1945 : U-boats and Mine Warfare Vessels, vol. 2, Londres, Conway Maritime Press, (ISBN 0-85177-593-4).
  • (de) Eberhard Rössler, Die deutschen U-Boote und ihre Werften: eine Bilddokumentation über den deutschen U-Bootbau; in zwei Bänden, vol. I, Munich, Bernard & Graefe, (ISBN 9783763752133, lire en ligne).

Voir aussi

Articles connexes

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