Le Bon Roi Dagobert (film, 1984)

Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voir Le Bon Roi Dagobert.

Le Bon Roi Dagobert
Description de cette image, également commentée ci-après
Michel Serrault, Ugo Tognazzi, Carole Bouquet et Coluche dans une scène du film.
Données clés
Titre original Dagobert
Réalisation Dino Risi
Scénario Gérard Brach
Agenore Incrocci
Dino Risi
Musique Guido et Maurizio De Angelis
Acteurs principaux

Coluche
Michel Serrault
Ugo Tognazzi

Sociétés de production Gaumont
FR3
Stand'art
Filmédis
Opera Film Produzione
Archimède International
Pays de production Drapeau de la France France
Drapeau de l'Italie Italie
Genre Comédie
Durée 112 minutes
Sortie 1984

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.

modifier

Le Bon Roi Dagobert est un film franco-italien réalisé par Dino Risi, sorti en 1984.

Synopsis

La caravane du roi fainéant (et hédoniste) Dagobert, y compris son souffre-douleur le moine Otarius, est attaquée par des brigands qui massacrent les gardes et violent les femmes.

Dagobert s'échappe et devient un pénitent dans un pèlerinage à Rome, chez le Pape.

Fiche technique

Distribution

  • Coluche : Dagobert Ier, le roi des Francs
  • Ugo Tognazzi : le Pape Honorius Ier et son sosie, l'acteur usurpateur Antrocchius
  • Michel Serrault : Otarius, le moine Maître (Maire) du Palais
  • Carole Bouquet : la princesse Héméré, fille de l'empereur de Byzance
  • Michael Lonsdale : Saint Éloi
  • Isabella Ferrari : Chrodielde
  • Francesco Scali : Landek, le bouffon
  • Sabrina Siani : Berthilde
  • Michel Roux : le narrateur en version française (non crédité)
  • Venantino Venantini : Démétrius, l'orfèvre de la broche empoisonnée
  • Fred Romano : une concubine
  • Karin Mai : Nanthilde, la reine des Francs
  • Antonio Vezza : Rutilius, le centurion
  • Marcello Bonini Olas : Héraclius Ier, empereur de Byzance
  • Isabella Dandolo : Alpaïde
  • Federica Paccosi : Ragnétrude
  • Gea Martire : Philliria
  • Claudia Cavalcanti : Frédégonde
  • John Karlsen : Corbus
  • Lamberto Consani : Aubiac
  • Mario Diano : Clodomir
  • Giordano Falzoni : Humerius, le magicien herboriste d'Auxerre
  • Antonio Marsina : Gontran
  • Romano Puppo : Argobal
  • Jean-Pierre Rambal : Cornelius
  • Ippolita Santarelli : Lavinia
  • Piero Del Papa : Lucius
  • Salvatore Baccaro : le bûcheron, nommé ministre des forêts
  • Percy Hogan : Ako
  • Pietro Torrisi : Basilius
  • Nello Pazzafini : un courtier de Dagobert
  • Ennio Antonelli : un courtier de Dagobert
  • Attilio Dottesio : un évêque
  • Matteo Corsini :
  • Moana Pozzi :
  • Sabine Jager :
  • Pietro Ceccarelli :
  • Gianclaudio Jabes :
  • Angelo Susani : un soldat franc
  • Fortunato Arena : un homme à la taverne (non crédité)
  • Omero Capanna : un mercenaire (non crédité)
  • Geretta Geretta : la charmeuse de serpents (non créditée)

Production

Cette section ne cite pas suffisamment ses sources (mars 2024)
Pour l'améliorer, ajoutez des références de qualité et vérifiables (comment faire ?) ou le modèle {{Référence nécessaire}} sur les passages nécessitant une source.

Ce film est sans doute le plus discret de la filmographie de Coluche. Tourné fin 1983 en langue italienne, les acteurs principaux doubleront les voix en français pour la sortie du film en France.

Le film est tourné au moment de la grosse dépression de Coluche, consécutive au suicide de Patrick Dewaere (survenu en 1982) et à son divorce, et peu de temps après le tournage de Tchao Pantin. L'humour de Coluche semble ici lourd, parfois vulgaire pour une grande partie du public, et l'acteur semble cabotiner.

On retrouve dans ce film, aux côtés de Coluche, Michel Serrault, qui avait tourné avec lui dans Deux heures moins le quart avant Jésus-Christ (1982) de Jean Yanne. Coluche retrouvera Serrault en 1985 dans Les Rois du gag. Il retrouvera aussi Dino Risi, toujours dans l'un des rôles principaux, également en 1985 dans Le Fou de guerre, qui sera le dernier film de l'acteur.

Ce film ressemble beaucoup, par bien des aspects, au seul film réalisé par Coluche, Vous n'aurez pas l'Alsace et la Lorraine (1977). C'est aussi un film en costumes mais avec une attention particulière — rare sur les écrans pour la période mérovingienne — portée à la qualité des reproductions historiques des vêtements, coiffures, moyens de transport et décors.

Dans le générique de début, le nom de Michel Serrault est écrit et crédité en tant que « Michele Serrault ».

Accueil

Critique

Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?

Box-office

À l'issue de son exploitation en salles, le film attire 1 070 467 spectateurs en France[1].

Notes et références

  1. https://www.jpbox-office.com/mobile/fichfilm.php?id=6644

Liens externes

  • Ressources relatives à l'audiovisuelVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • AllMovie
    • Allociné
    • British Film Institute
    • Centre national du cinéma et de l'image animée
    • Cinematografo.it
    • Ciné-Ressources
    • Cinémathèque québécoise
    • Filmweb.pl
    • IMDb
    • LUMIERE
    • OFDb
    • The Movie Database
    • Unifrance
  • Notices d'autoritéVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • BnF (données)
v · m
Réalisateur
  • icône décorative Portail du cinéma italien
  • icône décorative Portail du cinéma français
  • icône décorative Portail de l’humour
  • icône décorative Portail de la monarchie
  • icône décorative Portail des années 1980
  • icône décorative Portail du haut Moyen Âge