Henry Poidatz

Cet article est une ébauche concernant un homme d'affaires et un journaliste français.

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Henry Poidatz
Biographie
Naissance
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SannoisVoir et modifier les données sur Wikidata
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 50 ans)
7e arrondissement de Paris
Sépulture
Nationalité
françaiseVoir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Patron de presse, banquier, avocatVoir et modifier les données sur Wikidata
Enfants
Ellen Poidatz
Germaine MornandVoir et modifier les données sur Wikidata
Parentèle
Alfred Wittersheim (oncle maternel)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
A travaillé pour
Le Figaro
Le Petit JournalVoir et modifier les données sur Wikidata
Propriétaire de
Le Matin, château des Rhuets (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Grade militaire
LieutenantVoir et modifier les données sur Wikidata
Distinction

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Henry Poidatz ( à Sannois - à Paris) est un banquier et homme de presse français.

Biographie

Après des études de droit, il s'engagea dans l'armée en 1873, mais démissionna avec le grade de lieutenant pour s'inscrire au barreau de Paris en 1882.

Banquier et courtier en publicité, il fut associé en affaires avec Maurice Bunau-Varilla.

Neveu de l'ancien imprimeur du Journal officiel, il s'intéressa fortement à la presse. Journaliste au Figaro et secrétaire général de la direction du Petit Journal en 1884, il rachète en 1894 le journal Le Matin à Alfred Edwards, dont il prend la direction. Il fut syndic de la presse parisienne.

Il épouse Marguerite Francœur, arrière-petite-fille de Louis-Benjamin Francœur, avec qui il a quatre enfants : Marcelle (1883-1951), Ellen Poidatz [1] (1885-1949), Germaine Mornand[2] (1888-1976) et Jacques (1894-1954).

Il est propriétaire du château des « Rhuets » à Vouzon, qui sera vendu en 1905 après son décès[3].

Distinctions

Sources

  • Dominique Pinsolle, Un patron de presse méconnu : Henry Poidatz (1854-1905),
  • Patrick Éveno, L'argent de la presse française des années 1820 à nos jours, 2003

Notes et références

  1. Qui, atteinte elle-même de la poliomyélite, fondera en 1919 la colonie de Saint-Fargeau en Seine-et-Marne où seront accueillis, scolarisés et soignés par mécanothérapie des enfants souffrant de la même affection (aujourd'hui Fondation Ellen Poidatz).
  2. « Germaine Mornand », sur Au bon vieux temps de La Semaine de Suzette (consulté le )
  3. annonce vente sur pleade 3

Liens externes

  • Ressource relative à la vie publiqueVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • base Léonore
  • Notices d'autoritéVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • BnF (données)
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