Conférence des évêques catholiques de Nouvelle-Zélande

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Conférence des évêques catholiques de Nouvelle-Zélande
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La Conférence des évêques catholiques de Nouvelle-Zélande (en anglais : New Zealand Catholic Bishops Conference[Note 1], abrégé NZCBC[1], et en maori de Nouvelle-Zélande : Te Huinga o ngā Pīhopa Katorika o Aotearoa) est une conférence épiscopale de l’Église catholique qui réunit les ordinaires des six diocèses de Nouvelle-Zélande[2].

Historique

La conférence est une des quatre conférences épiscopales membres de la Fédération des conférences des évêques catholiques d’Océanie (Federation of Catholic Bishops Conferences of Oceania[Note 1], abrégé FCBCO)[3],[4]. Elle est représentée en 2023 par l’évêque d’Auckland, Stephen Lowe[2], suppléé par l’évêque de Dunedin, Michael Dooley[2].

Selon un rapport de la commission royale, publié en juillet 2024, au moins 200 000 personnes auraient subi des violences et des abus sexuels dans les institutions publiques et religieuses, depuis les années 1950. L'Église catholique étant particulièrement concernée, la NZCBC affirme qu’elle étudiera le rapport et indique : « Il y a du travail à faire pour le gouvernement et par beaucoup d’autres personnes. Nous comprenons qu’au sein de la communauté, certains d’entre nous – y compris les responsables de l’Église catholique – ont un rôle particulier à jouer pour veiller à ce que les conclusions et les recommandations de cette importante enquête ne se perdent pas ou ne se limitent pas aux mots. Nous nous engageons à jouer ce rôle »[5].

Membres

Sont membres de la conférences les évêques diocésains, les évêques coadjuteurs et les évêques auxiliaires des six diocèses du pays[6]. La commission se réunit quatre fois par an[7]. Le secrétariat de la conférence est situé à Wellington[6].

Sont membres, en 2023[8] :

Sanctuaires

La conférence épiscopale a désigné un sanctuaire national[9], l’église Sainte-Marie-des-Anges aussi sanctuaire Notre-Dame-de-Paradis de Wellington[10], en 2022[11], après plusieurs années de mise en place[12],[13] (la gestion des suites de la Covid-19 n’ayant certainement pas aidé)[Interprétation personnelle ?].

Notes et références

Notes

  1. a et b Les usages de l’anglais océanien (australien, néo-zélandais, pacifique) n’ajoutent pas une apostrophe, d’où le « New Zealand Catholic Bishops Conference » au lieu d’un « New Zealand Catholic Bishops’ Conference », et de même pour la « Federation of Catholic Bishops Conferences of Oceania ».

Références

  1. (en) « Welcome » [« Bienvenue »], sur catholic.org.nz, site de la conférence (consulté le ).
  2. a b et c (en) Gabriel Chow, « New Zealand Catholic Bishops Conference » [« Conférence des évêques catholiques de Nouvelle-Zélande »], sur gcatholic.org (consulté le ).
  3. (en) Gabriel Chow, « Federation of Catholic Bishops’ Conferences of Oceania (F.C.B.C.O.) » [« Fédération des conférences des évêques catholiques d’Océanie »], sur gcatholic.org (consulté le ).
  4. (en) « Welcome to FCBCO » [« Bienvenue à la FCBCO »], sur fcbco.org, site de la Fédération des conférences des évêques catholiques d’Océanie (consulté le ).
  5. Raphaël Zbinden, « Abus: l’Église en Nouvelle-Zélande épinglée dans un rapport. », sur Cath.ch, (consulté le )
  6. a et b (en) « Today » [« Aujourd’hui »], sur catholic.org.nz, site de la conférence (consulté le ), section « Structure » (« Structure »).
  7. (en) « New Zealand Catholic Bishops Conference and agencies » [« La Conférence des évêques catholiques de Nouvelle-Zélande et ses agences »], sur catholic.org.nz, site de la conférence (consulté le ).
  8. (en) « The Bishops of Aotearoa New Zealand » [« Les évêques de Nouvelle-Zélande »], sur catholic.org.nz, site de la conférence (consulté le ).
  9. (en) Gabriel Chow, « National Shrines: New Zealand (1) » [« Sanctuaires nationaux : Nouvelle-Zélande (1) »], sur gcatholic.org (consulté le ).
  10. (en) Gabriel Chow, « National Shrine of St Mary of the Angels » [« Sanctuaire national Sainte-Marie-des-Anges »], sur gcatholic.org (consulté le ).
  11. (en) « National shrine to Mary dedicated in capital » [« Dédication d’un sanctuaire national à Marie à la capitale »], sur nzcatholic.org.nz, (consulté le ) : « The New Zealand Catholic Bishops Conference has warmly thanked the many people who made a success of the Mass of Dedication of St Mary of the Angels church in Wellington as the National Shrine to Mary, Mother of God, Assumed into Heaven. The century-old landmark church was full almost to overflowing with the colourful diversity of the Catholic Church in Aotearoa New Zealand for the special 2pm Mass on August 14. » (« La Conférence des évêques catholiques de Nouvelle-Zélande a chaleureusement remercié les nombreuses personnes qui ont permis le succès de la messe de dédication de l’église Sainte-Marie-des-Anges de Wellington en sanctuaire national [Notre-Dame-de-Paradis]. L’église centenaire a été remplie presqu’à en déborder de la diversité de l’Église catholique de Nouvelle-Zélande à l’occasion de la messe spéciale de 14 h le . »)
  12. (en) « Church to renew Bishop Pompallier’s dedication of Aotearoa New Zealand to Our Lady Assumed into Heaven » [« L’Église va renouveler la dédication de Mgr Pompallier de la Nouvelle-Zélande (Aotearoa) à Notre-Dame-de-Paradis »], sur catholic.org.nz, site de la Conférence des évêques catholiques de Nouvelle-Zélande, (consulté le ) : « The Mass will be celebrated at the Wellington landmark St Mary of the Angels Church, which will be become the national shrine of Our Lady Assumed into Heaven. » (« La messe va être célébrée à l’église Sainte-Marie-des-Anges de Wellington, qui va devenir le sanctuaire national Notre-Dame-de-Paradis. »)
  13. (en) « Pandemic inspires Catholic rededication of Aotearoa NZ to Mary » [« La pandémie inspire la redédication de la Nouvelle-Zélande (Aotearoa) à Notre-Dame-de-Paradis »], sur catholic.org.nz, site de la Conférence des évêques catholiques de Nouvelle-Zélande, (consulté le ) : « After the Mass, it will leave for Invercargill on the start of a hīkoi (journey) around the country’s six Catholic dioceses that will end with its return and permanent placement in St Mary of the Angels, which will become a national shrine. » (« Après la messe, [l’œuvre] va commencer à Invercargill un hīkoi (un voyage processionnaire) dans les six diocèses catholiques qui se terminera par son retour et son placement définitif à Sainte-Marie-des-Anges, qui deviendra un sanctuaire national. »)

Voir aussi

Liens externes

  • (en) « Welcome » [« Bienvenue »], sur catholic.org.nz, site de la conférence (consulté le ).
  • (en) Gabriel Chow, « New Zealand Catholic Bishops Conference » [« Conférence des évêques catholiques de Nouvelle-Zélande »], sur gcatholic.org (consulté le ).

Liens internes

v · m
Sont présents les représentants de quatre conférences épiscopales, pour treize États, trois territoires américains et trois français
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